Vous vous posez des questions sur l’impact du chauffage au bois sur la planète ? Nous faisons le point et démontons au passage certaines idées reçues.
Idée reçue n°1 : chauffage au bois = déforestation
La forêt est le poumon vert de notre planète : elle produit le dioxygène de l’air et fixe le CO2 de l’atmosphère grâce à la photosynthèse. Elle est donc essentielle pour tous les animaux qui respirent. De plus, elle abrite 80% de la biodiversité terrestre, il est donc vital de la préserver. On pourrait croire qu’opter de plus en plus pour du chauffage au bois contribue à affaiblir la forêt : abattre des arbres, c’est grignoter petit à petit mais inexorablement le poumon de la terre.
Or il n’en est rien ! Et pour cause : les forêts françaises, dont est issu le bois de chauffage, sont pour la plupart durables. Cela signifie qu’on y replante en réalité plus d’arbres que ceux qu’on y prélève. C’est grâce à cette gestion durable qu’au final, en l’espace de 200 ans, la surface de la forêt française a doublé !
Se chauffer au bois n’est donc pas synonyme de déforestation. Au contraire : le chauffage au bois issu des forêts durables est tout aussi vertueux que l’éolien ou le solaire par exemple car il n’affecte donc pas les ressources disponibles.
Idée reçue n°2 : l’impact carbone du bois est très important
Le bois est une énergie neutre en carbone, car il consomme autant de CO2 pour sa croissance que ce qui sera rejeté lors de la combustion. En réalité, le chauffage au bois rejette cinq fois moins de CO2 que l’électricité pour une même quantité d’énergie, 6 fois moins que le gaz, et 12 fois moins que le fioul.
De plus, le bois de chauffage est très souvent issu de forêts locales. Comme il ne parcourt pas des milliers de kilomètres avant d’arriver dans votre poêle, l’impact carbone de son transport est quasiment inexistant. Encore un bon point pour le chauffage au bois, et un préjugé qui disparaît !
Idée reçue n°3 : le chauffage au bois pollue l’air
La plupart des énergies utilisées pour se chauffer ont un impact sur l’environnement. Le rejet de particules fines et autres polluants atmosphériques peut effectivement concerner le chauffage au bois. Un équipement non performant et l’utilisation d’un bois traité et/ou humide favorisent l’émission de particules fines PM 10 et PM 2,5, de HAP (Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), de monoxyde de carbone (CO), de composés organiques volatils (COV) et d’oxydes d’azote (NOx).
Mais avec une installation récente, la pollution de l’air causée par le chauffage au bois est minime : les poêles à bois bénéficient de technologies très performantes (la double combustion par exemple) pour diminuer de façon drastique leur impact sur l’environnement.
En clair, un appareil de qualité, récent, conforme aux normes, correctement entretenu et utilisant un bois sec non traité ne sera que très peu polluant.
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